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Longtemps cantonné aux clichés — « il fait trop froid pour la vigne », « quelques bulles, et puis c’est tout » — le vin belge vit aujourd’hui une (r)évolution passionnante. Caviste wallon et fondateur de Wines of Earth (titulaire WSET), je me devais de posséder une superbe collection de vins de Belgique en stock (Domaine Vinadis, Domaine des Agaises, Domaine du Chenoy, Domaine Vandeurzen, Château de Bioul, Château Genoels-Elderen…), prêts à être commandées en ligne au meilleur rapport qualité-prix en Europe. Paiement sécurisé, expédition rapide en caisses renforcées (zéro casse), sélection disponible dès maintenant chez votre e-caviste belge.
Cette cuvée Brut Nature millésimée est un vin pétillant belge bio très haut de gamme du Château de Bioul, en appellation AOP Crémant de Wallonie. Aucune adjonction de sucre pour un produit d'exception. Ce vin est vendu dans sa caisse en bois. Cette cuvée Brut Nature millésimée...
Très belle cuvée Perle de Wallonie Extra Brut, produite sous l'appellation AOP Crémant de Wallonie. Ce vin pétillant belge bio dévoile une bulle fine, de la fraicheur et des beaux arômes. Cela donne un très beau vin du Domaine du Chenoy. Très belle cuvée Perle de Wallonie...
Pourquoi chercher en Champagne ce qui peut être trouvé localement (pour les Belges bien sûr !) ? La cuvée Extra Brut du Domaine Mont des Anges (Hainaut) est un vin pétillant belge haut de gamme qui rivalise facilement avec les meilleurs crémants et champagnes français. Sa bouche saline et minérale est typique des grands vins effervescents élevés avec... Pourquoi chercher en Champagne ce qui...
Voici encore un vin pétillant belge rosé dont la Belgique peut être fière ! Cette cuvée Ruffus rosé, du nom d’un seigneur qui régnait sur la région au 12e siècle, plaira aux fans de bulles brut et élégantes. Une valeur sûre pour un cadeau ou tout simplement pour un apéritif entre amis. Excellent rapport qualité prix ! Ne loupez pas l’occasion, il est... Voici encore un vin pétillant belge...
Petite merveille que cette cuvée Brut des Houillères du Château de Bioul. Ce vin pétillant rosé belge bio d'appellation AOP Crémant de Wallonie est une bulle rosée gourmande, agréable et très bien réalisée. Petite merveille que cette cuvée Brut...
Magnifique vin pétillant rosé belge bio que cette cuvée Perle de Wallonie rosé du domaine du Chenoy. C'est très expressif, fort bien construit. Très belle preuve du savoir faire du domaine. Pour les fans d'extra brut et les curieux•ses à la découverte de l'AOP Crémant de Wallonie. Magnifique vin pétillant rosé belge...
Ce vin rosé belge bio, produit par le Domaine du Chenoy, se dévoile tout en finesse et en élégance. La cuvée Cupidon vous charmera par sa couleur lumineuse et son élégant équilibre aromatique aux notes de fruits rouges et d’agrumes. Des notes de rosé de Provence se font sentir. Aussi, une belle fraîcheur rend ce rosé d'AOP Côtes de Sambre et Meuse... Ce vin rosé belge bio, produit par le...
La cuvée Pinot Noir Prestige du domaine Vandeurzen plaira aux passionné·es de vins de Bourgogne. Ce vin rouge belge produit dans le Hageland est un modèle de vinification réussie. Très belle mise en valeur du Pinot Noir : un très joli cadeau assurément. La cuvée Pinot Noir Prestige du...
Voici un vin rouge belge du Hageland qui ravira les amateurs et amatrices de vins puissants. Le cépage Tempranillo fait des merveilles sur le terroir flamand du domaine Vandeurzen. Cette cuvée Tempranillo Prestige Pure Red vous promet un joli moment de dégustation. Très joli cadeau pour un·e œnophile. Voici un vin rouge belge du Hageland...
Envie de goûter un vin rouge belge singulier, élevé en fût et au fruit éclatant ? Découvrez la cuvée Acolon Barrique du Domaine Vinadis, un joli vin du Pays de Vesdre, en province de Liège. Vinifié avec précision, ce vin souple et charmeur s’inscrit comme une alternative artisanale aux pinots noirs d’Alsace ou aux cuvées fruitées du Beaujolais, avec une... Envie de goûter un vin rouge belge...
La cuvée Pinot Noir Spéciale Barrique du domaine belge Vinadis est une petite surprise qui ravira les fans du cépage rouge bourguignon vinifié en fût de chêne. Ce beau vin rouge belge de la province de Liège m’a surpris par sa fraîcheur et son équilibre. Il saura accompagner de nombreux plats. Une belle affaire que ce vin rouge wallon à un rapport... La cuvée Pinot Noir Spéciale Barrique...
Malgré un manque de chaleur tout relatif en Belgique, ce vin rouge belge bio du Château de Bioul est une belle preuve que des vins rouges de qualité sont produit dans le pays. La cuvée Corail Braco est un très beau vin, sur le fruit, bien équilibré. Un must à découvrir dans cette appellation AOP Côtes de Sambre et Meuse. Malgré un manque de chaleur tout...
Un grand vin rouge belge bio plein d'avenir que cette cuvée Grand Chenoy, du domaine éponyme. On y sent tout le travail et le savoir-faire des vignerons pour un résultat final qui accompagnera vos repas gastronomiques au mieux. Un splendide exemple de ce qui se fait de très bon sous l'appellation AOP Côtes de Sambre et Meuse en Belgique. Un grand vin rouge belge bio plein...
Chouette vin rouge belge bio du Domaine du Chenoy. Cette cuvée Terra Nova, sous appellation AOP Côtes de Sambre et Meuse, est la preuve que l'on peut faire de beaux vins rouges en Belgique. Chouette vin rouge belge bio du...
On a longtemps pensé que la vigne était étrangère à nos terres belges et importée tardivement par les moines ou les ducs. Mais les recherches archéologiques bousculent ce cliché. Ainsi, à Bevere, on a retrouvé des sarments de vigne aux côtés d’outils du Néolithique. Attention : ce n’est pas la preuve d’une viticulture préhistorique, mais cela confirme que la vigne sauvage poussait déjà naturellement ici il y a plusieurs millénaires. Autre découverte : des restes de vigne datant de l’Holocène ont été mis au jour dans une tourbière à Jette-Saint-Pierre. Bref, la vigne est une plante indigène en Belgique, bien avant que les humains ne décident d’en faire du vin.
Et les Romains dans tout ça ? Contrairement à une idée reçue, aucune preuve archéologique ne montre des vignobles romains en Belgique. Les textes antiques, eux, sont plutôt clairs : les peuples belges, comme les Nerviens, étaient réputés pour leur méfiance envers le vin importé. À cette époque, on buvait de la cervoise et des boissons fermentées locales, pas du vin produit sur nos coteaux.
Il faut attendre le début du 9e siècle pour trouver les premières mentions de vignobles en Belgique :
Ces toutes premières plantations sont l’œuvre des abbayes et chapitres religieux. Les moines ont besoin d’un vin sûr, non frelaté, pour célébrer la messe. Très vite, les coteaux mosans (Meuse, Sambre) deviennent un laboratoire au service du culte.
Cette « vigne des moines » va poser les fondations de tout le vignoble belge. On plante près des monastères, des collégiales et des prieurés, là où la topographie offre des pentes bien exposées au sud. Les vignes restent modestes en superficie.
Après les premières vignes monastiques, la viticulture sort des cloîtres pour gagner les seigneuries et les villes. Au 12e siècle, les ducs de Bourgogne eux-mêmes possèdent des vignobles à Bruxelles, Louvain, Aerschot, Namur ou encore Mons. La vigne n’est plus seulement sacrée, elle devient économique : on la cultive pour vendre, pour lever des rentes, pour générer du revenu foncier. Les bourgeois, les châtelains et les chapitres ecclésiastiques investissent. Résultat : au 13e siècle, presque chaque grande ville belge possède ses coteaux.
Entre le 14e et le 15e siècle, c’est l’apogée, l’âge d’or du vignoble belge :
À cette époque, la viticulture est partout. Des milliers d’hectares sont exploités, les corporations de vignerons organisent le métier, et l’Église prélève ses pots-de-vin (littéralement des rentes payées en vin). Les châtelains boivent leur propre production, les taverniers vendent le vin local.
Techniquement, on pratique une viticulture encadrée :
Mais à partir du 16e siècle, la machine s’enraye. Plusieurs facteurs se combinent :
Au 17e siècle, il reste des vignes, mais de moins en moins.
À la fin du 18e siècle, la viticulture est réduite à des parcelles isolées. Le vin belge subsiste surtout pour un usage local ou religieux.
Avec le 19e siècle, le vignoble belge entre dans sa phase terminale. Plusieurs facteurs expliquent cette lente agonie :
Et comme si cela ne suffisait pas, les maladies de la vigne frappent de plein fouet en cette 2e moitié du 19e siècle. L’oïdium, ce champignon qui recouvre les feuilles et bloque la maturation du raisin, atteint rapidement les vignes du nord. Puis vient le phylloxéra, ce puceron venu d’Amérique qui ravage les racines de la vigne européenne. Entre 1860 et 1890, il détruit la quasi-totalité des vignobles européens, et les quelques vignes belges encore debout n’y échappent pas.
À cette époque, les rares ceps qui survivent n’ont plus qu’une valeur sentimentale ou ornementale, accrochés sur un mur bien exposé d’un jardin bourgeois. La viticulture belge en pleine terre, après plus d’un millénaire d’existence, est alors considérée comme éteinte.
Alors que la vigne en pleine terre disparaît presque totalement, une idée lumineuse voit le jour en 1865 à Hœilaart, près de Bruxelles : cultiver la vigne sous serre chauffée. Contrairement aux serres néerlandaises, qui profitent simplement du verre, les serres belges sont chauffées au charbon ou à la coke. Résultat : les variétés précoces mûrissent dès le début du printemps et les cépages tardifs peuvent rester sur la vigne jusqu’en plein hiver.
Cette innovation fait naître une industrie viticole inédite : celle du raisin de table belge, produit en grande quantité et exporté à travers l’Europe. La production en serre ne vise pas le vin, mais le raisin de table haut de gamme. On introduit donc des variétés spécifiques :
Cette viticulture sous serre connaît une expansion spectaculaire jusqu’aux années 1930. En 1932, on atteint un pic de 350 hectares de serres viticoles. La zone principale de production se concentre autour de Hœilaart, Overijse, La Hulpe, Huldenberg et Duysbourg. On estime qu’en 1933, près de 6 000 personnes vivaient directement de cette culture. Chaque exploitation est petite (souvent 1 à 2 acres), mais très spécialisée : en moyenne, 20 serres par domaine, avec un exploitant permanent et quelques ouvriers saisonniers. Le système est intensif et productif.
Mais dès 1931, un coup dur survient : le Royaume-Uni modifie ses tarifs douaniers. Les exportations belges chutent brutalement : de 3 000 tonnes exportées en 1931, on passe à seulement 1 700 tonnes en 1935. Malgré tout, dans les années 1940, la Belgique reste l’un des plus gros producteurs mondiaux de raisin sous serre. En 1946, on estime que 5 % des grappes cultivées dans le monde le sont sous serre, principalement en Belgique et aux Pays-Bas.
Après plus d’un siècle de quasi-disparition, la viticulture en pleine terre renaît timidement dans les années 1960. Deux noms marquent ce retour :
Dans les années 1970, le mouvement s’amplifie, notamment en Flandre et aux Pays-Bas voisins. Des producteurs de fruits remplacent leurs vergers par des vignes. On plante surtout des cépages blancs allemands (müller-thurgau, riesling, kerner…), adaptés au climat frais. Dans le Hageland (autour de Louvain), une véritable région viticole se reconstitue.
C’est dans ce contexte que la Belgique obtient sa première reconnaissance officielle en 1997 avec l’AOC Hagelandse wijn — première appellation belge pour des vins tranquilles. D’autres créations d’AOC suivront dans les années 2000 (je les détaille plus bas), avec des projets ambitieux qui voient le jour :
Aujourd’hui, le vignoble belge couvre près de 1 000 hectares et regroupe plus de 300 vignerons.
La Belgique est située entre la France, les Pays-Bas, l'Allemagne et le Luxembourg, avec une côte sur la mer du Nord. Sa superficie est d'environ 30 500 km². Le pays est divisé en trois régions principales : la Flandre au nord, la Wallonie au sud, et Bruxelles au centre, qui est aussi la capitale.
Le relief belge est assez doux et varié. Le nord est composé de plaines basses et légèrement vallonnées, propices à l'agriculture, tandis que le sud, notamment l’Ardenne, est plus montagneux avec des altitudes allant jusqu’à environ 700 mètres. Plusieurs rivières importantes traversent le pays, comme la Meuse et l’Escaut.
La Belgique présente une géographie diverse avec trois grandes unités :
Le climat de la Belgique est océanique tempéré, très humide toute l'année avec des températures moyennes estivales autour de 15-18 °C et hivernales entre 0 et 4 °C selon les régions. La côte est plus douce et sèche relativement, alors que l’Ardenne est plus froide, plus humide avec plus de jours de précipitation et de neige. L’humidité relative moyenne dépasse 80%, et les précipitations sont fréquentes toute l’année, avec 170 jours de pluie en moyenne sur la côte et plus de 230 jours dans l’Ardenne.
On imagine souvent que le vignoble belge se limite à 2 ou 3 variétés classiques. En réalité, c’est tout l’inverse : on y cultive aujourd’hui plus de 140 cépages différents sur à peine 1 000 hectares de vignes. Bien sûr, quelques grands classiques des vignobles septentrionaux dominent :
En ordre décroissant de surfaces, on retrouve :
En ordre décroissant de surfaces, on retrouve :
La Belgique viticole a connu en 2024 une année pour le moins contrastée. La production nationale a chuté de près de 2/3 par rapport à 2023. Après une récolte record de plus de 3,4 millions de litres en 2023, la vendange 2024 plafonne à 1,2 million de litres, soit un recul historique de –64 %. Une baisse brutale, due principalement aux conditions météorologiques : gelées tardives, printemps pluvieux, forte pression des maladies fongiques. Résultat : un vigneron sur cinq n’a même rien récolté cette année-là.
Paradoxalement, jamais la viticulture belge n’a été aussi active qu’en 2024 (même si les chiffres sont faussés par rapport à la moyenne, à cause de ce millésime très particulier) :
En Belgique, comme dans toute l’Union européenne, le vin est encadré par deux grands niveaux de protection de l’origine :
| Appellation | Date de création | Région / Aire concernée | Particularités / Cépages autorisés |
|---|---|---|---|
| AOP Hagelandse wijn | 9 juillet 1997 | Hageland (Brabant flamand, triangle Louvain – Tirlemont – Aarschot) | Première AOP belge. Vins tranquilles blancs, rouges et rosés. Cépages allemands (Müller-Thurgau, Riesling) et bourguignons (Pinot noir, Chardonnay). Sols sableux ferrugineux. |
| AOP Haspengouwse Wijn | 6 janvier 2000 | Hesbaye limbourgeoise (Limbourg : Hasselt, Saint-Trond, Borgloon, frontière NL) | Vins tranquilles et mousseux. Chardonnay, Pinot noir, Pinot gris dominants. Microclimat favorable et sols limoneux-marneux. |
| AOP Côtes de Sambre et Meuse | 27 mai 2004 | Vallées de la Sambre et de la Meuse (Namur, Liège, Hainaut) | Vins tranquilles et effervescents. Variétés : Chardonnay, Pinot noir, Pinot gris, Auxerrois, cépages résistants (Johanniter, Solaris, Souvignier gris…). Sols argilo-calcaires et coteaux exposés sud. |
| IGP Vin de pays des Jardins de Wallonie | 27 mai 2004 | Toute la Wallonie | Indication géographique souple permettant vins tranquilles et mousseux avec cépages variés, y compris interspécifiques résistants. Souvent utilisée pour essais bio et nature. |
| AOP Heuvellandse Wijn | 18 novembre 2005 | Heuvelland (Flandre-Occidentale, collines du Mont Kemmel, Monteberg, Vidaigneberg, Baneberg) | Vins tranquilles et mousseux. Pinot noir et Pinot gris en vedette. Collines entre 90–120 m, sols ferrugineux, climat tempéré protégé par les bois. |
| IGP Vlaamse Landwijn | 18 novembre 2005 | Toute la Flandre | Indication géographique couvrant vins tranquilles issus d’un large panel de variétés. |
| AOP Vlaamse mousserende kwaliteitswijn | 18 novembre 2005 | Toute la Flandre | Spécialisée dans les vins mousseux méthode traditionnelle. Cépages : Chardonnay, Pinot noir, Pinot blanc. |
| AOP Vins mousseux de qualité de Wallonie | 5 mars 2008 | Toute la Wallonie | Vins blancs ou rosés méthode traditionnelle. Variétés : Chardonnay, Pinot noir, Pinot blanc, Pinot gris, Pinot meunier, Auxerrois, Riesling. Vieillissement min. 9 mois sur lies. |
| AOP Crémant de Wallonie | 5 mars 2008 | Toute la Wallonie | Méthode traditionnelle stricte. Variétés : Chardonnay, Pinot noir, Pinot blanc, Pinot meunier. Exigences fortes de rendement et vendange manuelle. |
| AOP Maasvallei Limburg | 10 janvier 2018 | Vallée de la Meuse, transfrontalière Belgique / Pays-Bas. Communes belges : Kinrooi, Maaseik, Dilsen-Stokkem, Maasmechelen, Lanaken. | Première AOP transfrontalière d’Europe. Vins tranquilles blancs, rouges et rosés. Variétés principales : Chardonnay, Pinot noir, Pinot gris, Auxerrois, mais aussi cépages résistants. |
| Vin de Belgique (hors AOP/IGP) | – | Tout le territoire national | Mention générique pour vins non reconnus AOP/IGP. Souvent utilisée par vignerons innovants, nature, bio ou expérimentaux. |
Voici maintenant une tentative d’arborescence pour vous aider à visualiser la répartition des vignobles dans les différentes provinces de Belgique.
| Région | Province (surface en ha / part nationale) | AOP / IGP / Bassins viticoles notoires | Production 2024 (litres / part nationale) |
|---|---|---|---|
| Flandre | |||
| (489,46 ha / 51,1 %) | |||
| 672171 l (54,8 %) | Anvers (43,83 ha / 4,6 %) | Quelques domaines, vins tranquilles et mousseux | 20358 l (1,7 %) |
| Limbourg (143,94 ha / 15,0 %) | AOP Haspengouwse wijn (Hesbaye flamande) | 190073 l (15,5 %) | |
| Flandre-Orientale (62,47 ha / 6,5 %) | Petits vignobles dispersés | 113371 l (9,3 %) | |
| Brabant flamand (96,87 ha / 10,1 %) | AOP Hagelandse wijn (autour de Louvain) | 70229 l (5,7 %) | |
| Flandre-Occidentale (142,35 ha / 14,9 %) | AOP Heuvellandse wijn (Mont Kemmel, Mont Rouge…) | 278140 l (22,7 %) | |
| AOP Vlaamse mousserende kwaliteitswijn | |||
| IGP Vlaamse landwijn | |||
| Wallonie (468,59 ha / 48,9 %) | |||
| 553576 l (45,2 %) | Hainaut (153,98 ha / 16,1 %) | Bassins notoires : Domaine des Agaises (Ruffus), Chant d’Éole – spécialité mousseux méthode traditionnelle | 300750 l (24,5 %) |
| Namur (103,41 ha / 10,8 %) | AOP Côtes de Sambre et Meuse (Meuse amont + Sambre)Exemple : Château de Bioul | 95590 l (7,8 %) | |
| Liège (134,05 ha / 14,0 %) | AOP Côtes de Sambre et Meuse (Meuse aval)Vignobles autour de Huy, Vinalmont | 102539 l (8,4 %) | |
| Luxembourg (7,78 ha / 0,8 %) | Petits vignobles en développement, souvent bio et résistants | 920 l (0,07 %) | |
| Brabant wallon (69,37 ha / 7,2 %) | Bassins de Genappe, Ottignies ; domaines notoires (Wiscoutre) | 53777 l (4,4 %) | |
| AOP Vin mousseux de qualité de Wallonie | |||
| AOP Crémant de Wallonie | |||
| IGP Vin de pays des Jardins de Wallonie |
Je vais être franc avec vous : pendant longtemps, le vin belge faisait sourire. Trop petit, trop jeune, trop frais… Bref, on le regardait comme une curiosité. Mais en tant que caviste passionné, longtemps tourné vers les vins d’Outre-Quiévrain, je peux vous dire que les choses ont radicalement changé.
Aujourd’hui, quand j’ouvre une bouteille de Château de Bioul, un Ruffus du Domaine des Agaises, ou encore une cuvée parcellaire du Chant d’Éole, je retrouve exactement ce que je cherche dans un grand vin : de la précision, de la fraîcheur, une identité affirmée et une qualité de vinification digne des meilleures régions européennes.
Le vignoble belge a ses forces uniques :
Je suis fier de vous proposer ici une collection de produits qui reflète toute la diversité et la qualité de ce vignoble en pleine ascension, avec de superbes bouteilles : Chardonnay droit venu de Hesbaye, Pinot noir fruité du Heuvelland, bulle de Wallonie…
Vous trouverez toutes les informations (sol, cépage, millésime, vinification, arômes et goût…) sur chaque bouteille disponible en stock dans les fiches techniques. N’hésitez pas à me demander davantage de conseil directement grâce à l’onglet Messenger en bas à droite de votre écran. Livraison des bouteilles de vins du monde en caisses renforcées pour une sécurité optimale.