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Pays parmi les plus anciens producteurs de vins du monde, l’Albanie connaît un renouveau depuis les années 2000. Et pour cause : les vignerons locaux cultivent un grand nombre de cépages autochtones aux noms complexes (plus de 100 !), ce qui est toujours excitant pour les œnophiles en quête de nouveautés. Découvrez donc la sélection de vin albanais en ligne de votre e-caviste belge Wines of Earth. Rapport qualité-prix idéal. Paiement sécurisé et livraison en caisse renforcée.
La cuvée Dukasi de Kantina Arianiti illustre à merveille la nouvelle génération des vins albanais. Cultivé sur les collines calcaires de Patos, dans le Western Loawlands, ce vin blanc albanais sec 100% Shesh i Bardhë (cépage local) rappelle la tension d’un Soave ou d’un Assyrtiko, avec une bouche droite, légèrement saline et des arômes nets de poire et... La cuvée Dukasi de Kantina Arianiti...
Ce vin rouge albanais montre combien l’Albanie revient à pleine vitesse dans le monde du vin. On retrouve ici la patte de Kantina Enofama, un domaine installé à Toshkëz (région de Lushnje, Western Lowlands). Le cépage Vranats (ou Vranac) y donne un rouge intense, hyper fruité et velouté. Une belle porte d’entrée pour découvrir les vins des Balkans, encore... Ce vin rouge albanais montre combien...
Les territoires actuels de l’Albanie, habités depuis près de 100 000 ans, voient apparaître une population indo-européenne vers le 3ᵉ millénaire avant J.-C. : les Illyriens. Ce peuple, installé entre les montagnes et la mer Adriatique, développe une culture viticole primitive mais déjà structurée. Les géographes et archéologues y situent l’un des plus anciens foyers de la vigne en Europe, avec de possibles premières traces de viticulture en Illyrie dès le 8ᵉ siècle avant J.-C.
Des traces archéologiques notables ont été retrouvées à Bylis, ancienne cité fondée vers 400 av. J.-C. On y a découvert des cuves en céramique de 165 × 145 cm, divisées par des murs de 35 cm d’épaisseur. Elles servaient à écraser le raisin et décanter le vin. Des amphores scellées à la cire d’abeille et à la résine de pin y ont également été exhumées.
Dans la cité d’Apollonia, proche de Fier, 1 500 amphores ont été retrouvées, disposées en quatre rangées formant un mur de 21 m de long, 6 m de large et 2 m de haut. Chaque amphore contenait entre 22 et 26 litres de vin, ce qui est une autre preuve d’une production organisée dès le 4ᵉ siècle avant J.-C.
D’autres recherches menées dans le golfe de Saranda, à 2 km du rivage, révèlent encore 6 amphores datant du 3ᵉ siècle avant J.-C. Il existe aussi des sources antiques qui corroborent ces faits, notamment le géographe Strabon (63 av. J.-C. – 20 apr. J.-C.) qui écrivait : « Les habitants de la côte orientale de l’Adriatique exportent leur vin à Rome et le conservent dans des tonneaux de bois. »
On trouve bien sûr des légendes et des coutumes liées au vin, comme celle, selon Johan Wilkes (2005), qui concerne les Adriens, une tribu illyrienne. Celle-ci organisait des concours de boisson, auxquels les femmes participaient avant de ramener leurs maris ivres chez eux. Les rois Agron et Gentius étaient connus comme de grands buveurs. Les Taulants, un autre peuple illyrien, auraient aussi transmis aux Grecs une recette d’hydromel, boisson fermentée à base de miel, de vin et d’eau, consommée jusqu’à la période d’Attila.
À partir de 30 avant J.-C., l’Illyrie passe sous contrôle romain. L’intégration du territoire dans l’Empire ouvre une nouvelle phase pour les vins locaux. Les Romains étendent les surfaces plantées et introduisent leurs méthodes de vinification et de conservation. La viticulture devient une activité agricole à part entière et très importante.
Les centres urbains de Shkodra, Berat, Elbasan et Vlora concentrent l’essentiel des parcelles. Les fouilles archéologiques menées à Apollonia et Bylis ont confirmé qu’il y avait une continuité entre les pratiques des Illyriens et des Romains. Grâce aux amphores, les échanges commerciaux avec Rome se développent : le vin, l’huile d’olive et le poisson salé partent aussi vers la péninsule italienne.
Lorsque l’Empire romain se divise en 395, l’Albanie passe sous la sphère byzantine. La viticulture se maintient et les producteurs s’adaptent au nouveau contexte. Les monastères naissants vont jouer un rôle important dans la préservation des cépages et la continuité des savoir-faire. Les chroniques médiévales des 10e au 14e siècles mentionnent ainsi la poursuite des échanges commerciaux autour de la mer Adriatique, avec l’envoi de vins, d’huiles et de tissus qui circulent entre Durres, Vlora et les ports méditerranéens.
À la fin du 14ᵉ siècle, l’Albanie tombe sous la domination de l’Empire ottoman. Cette période, qui s’étend sur plus de 4 siècles, modifie les structures économiques et sociales du pays en profondeur. Mais la vigne survit et les populations locales continuent de produire du vin, souvent pour leur propre consommation ou à des fins commerciales locales. Le vin est également utilisé dans certains rites chrétiens, tolérés dans les zones de population mixte.
Un registre ottoman de 1431 fournit une première description précise de la viticulture albanaise sous le nouveau régime. Sur 1 123 villages recensés entre la rivière Mat et Konispol, 158 villages, soit environ 14 %, cultivent la vigne et acquittent un impôt spécifique sur le vin.
Les chroniques d’Elvija Çelepia, historien et voyageur turc du 17ᵉ siècle, décrivent une activité viticole importante avec l’existence, autour de 1660–1670, de :
L’Albanie proclame son indépendance en 1912. Le pays entre dans le 20ᵉ siècle avec une viticulture encore largement traditionnelle, concentrée dans les vallées fertiles du centre et du sud. Les guerres balkaniques, puis la Première Guerre mondiale, constituent d’importants freins à toute modernisation. Malgré ces troubles, une production viticole locale perdure, en association avec la culture des oliviers et des arbres fruitiers.
Entre 1912 et 1930, la vigne connaît une lente expansion. Les exploitations restent familiales, peu mécanisées et avec un rendement limité. Mais à l’instar du reste de l’Europe, cette croissance s’interrompt brutalement en 1933, lorsque les premiers cas de phylloxéra sont repérés. Faute de moyens techniques et scientifiques disponibles, plus de la moitié du vignoble national est détruite en une décennie.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, il ne reste que 2 737 hectares de vignes productives sur l’ensemble du territoire (Sotiri et al., 1973). Avec l’instauration du régime communiste en 1945, l’État planifie une relance complète du secteur. Les nouvelles plantations utilisent des plants greffés résistants au phylloxéra et importés d’Italie, de France, de Hongrie et de Bulgarie. Dès 1957, 9 pépinières d’État assurent la production nationale de greffons.
En parallèle, le gouvernement met en place un réseau de 24 kantina, des coopératives qui produisent :
Ces nouveaux débouchés entraînent une augmentation rapide de la superficie viticole, et l’on compte ainsi :
Durant les années 1970 à 1990, l’industrie viticole albanaise atteint une production record. La filière est alors totalement étatisée, de la vigne à la bouteille. Forcément, avec une telle structuration, la standardisation est la norme. De nombreux cépages autochtones sont délaissés au profit de variétés étrangères à rendement élevé. La qualité reste variable, mais la production s’industrialise et le vin albanais devient un produit courant sur le marché intérieur et dans certains pays socialistes voisins.
Avec la chute du régime communiste au début des années 1990, les grandes exploitations d’État sont démantelées et privatisées. Les terres sont redistribuées le plus souvent sous forme de petites parcelles à des familles de vignerons. Cette fragmentation entraîne mécaniquement une baisse de la production et la perte d’une partie du matériel viticole. La logique de standardisation est toutefois remplacée par la quête de qualité.
La décennie 1990–2000 est marquée par de nouveaux producteurs qui se réapproprient leurs vignes et redécouvrent les cépages autochtones. On peut citer :
Avec le soutien de partenaires internationaux, de nouvelles formations en œnologie voient le jour. On observe en parallèle le développement des premières caves coopératives privées (toujours appelées kantina), comme Kantina Cobo à Berat, Kantina Nurellari dans la même région, ou encore Kantina Bardha près de Shkodra. Elles offrent un point d’entrée aux pratiques de vinification modernes, à savoir l’usage de cuves inox thermorégulées, les pressoirs pneumatiques, les techniques d’élevage en fûts…
La superficie du vignoble se stabilise autour de 20 000 hectares. La production annuelle tourne autour de 90 000 hectolitres : celle-ci se concentre autour de Shkodra, Berat, Korça, Elbasan, Durres et Vlora. On note dans le même temps un travail de valorisation des terroirs. Bien que les cépages internationaux (Merlot, Cabernet Sauvignon, Chardonnay) soient encore présents, la tendance dominante est au développement du patrimoine variétal albanais.
En parallèle, et ce depuis les années 2000, la viticulture albanaise intègre progressivement le marché européen. Pour le moment, les vins sont surtout exportés vers le Kosovo (principal marché), la Macédoine du Nord, l’Italie (petites quantités) et la Suisse (marché de niche pour certains vins haut de gamme). L’Albanie est toutefois devenue membre de l’OIV en 2023 et réfléchit actuellement à la création de DOP et d’IGP sur le modèle européen.
L’Albanie s’étend sur 28 748 km², entre la mer Adriatique à l’ouest et les montagnes des Balkans à l’est. On trouve le Monténégro au nord-ouest, le Kosovo au nord-est, la Macédoine du Nord à l’est et la Grèce au sud-est.
Le pays est situé entre les latitudes 39° et 43° N, dans la même zone que le sud de l’Italie ou la Grèce du Nord. C’est un pays à dominante montagneuse : environ 70 à 75 % du territoire se situe au-dessus de 300 mètres d’altitude, avec pour chaînes principales :
Au total, la surface agricole utile représente environ 40,5% de la surface totale du pays. Les principales zones viticoles se trouve autour de Durres, Vlora, Berat, Skrapar et la vallée de la Shkumbin.
L’Albanie présente un climat méditerranéen tempéré, influencé par la mer Adriatique et la mer Ionienne. On y trouve donc des étés chauds et secs, ainsi que des hivers doux et humides. On observe toutefois une transition vers un climat continental à mesure que l’on s’éloigne de la côte et que l’altitude augmente. Globalement, on observe les données suivantes :
Du côté des sols, le territoire albanais a été formé par la collision adriatico-balkanique, une activité tectonique qui acréé un relief morcelé et des sols très hétérogènes. On observe donc une combinaison de roches sédimentaires et schisteuses avec une présence dominante de calcaires marins, d’argiles compactes et de terrasses alluviales anciennes. On peut néanmoins identifier plusieurs grandes zones (qui vont constituer les principales régions viticoles du pays) :
Terrasses caillouteuses du sud-ouest : vers Vlora et Orikum, pentes anciennes de conglomérats calcaires et de galets marins. Ces substrats très drainants limitent la vigueur et favorisent de faibles rendements.
Il existe énormément de disparités de chiffres dans les sources disponibles, et je vous propose donc un portrait global de l’état de la production en Albanie, avec des fourchettes, car données variables selon les millésimes :
Nombre de domaines viticoles : 76 enregistrés (en 2023) selon l’OIV, dont 20 grandes exploitations (autour de 20000 hL/an). Mais une source officielle albanaise évoque le nombre de 426 exploitations viticoles, dont beaucoup entre 1 et 1,5 hectares, qui alimentent les caves et coopératives. Et une autre stipule qu’environ 35 666 agriculteurs (soit 11 % des exploitations du pays) possèdent des vignobles.
Il n’existe pas encore en Albanie de cadre officiel de classification comparable à celui des États membres de l’Union européenne. Donc pour acheter votre vin albanais en ligne, il faut accepter de devoir explorer sans la présence d’une structure facile à lire. Mais le Ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MARD) travaille déjà à l’élaboration d’une nouvelle loi sur la vigne et le vin, qui devrait instaurer ce système et aligner la réglementation nationale sur le Règlement (UE) n° 1308/2013 relatif à l’organisation commune des marchés agricoles.
On pourrait ainsi retrouver à terme 3 catégories de vins :
Certaines régions et certains cépages autochtones ont déjà été identifiés comme candidats aux appellations, du fait de leur importance culturelle, et peut-être aussi de leur potentiel commercial. Parmi eux figurent les vins de Kallmet (région de Lezhë), Vlosh (Vlora), Pulës et Serina (Berat et Korçë), ainsi que les variétés Sheshi i Zi et Sheshi i Bardhë (Durrës).
L’Albanie espère beaucoup de ce futur système qui doit permet au pays d’accroître la crédibilité et la qualité perçue de ses vins, de protéger le patrimoine viticole national, et surtout, de favoriser l’exportation. Il reste beaucoup de travail, tant sur le plan de la production et de la traçabilité que du cadre juridique, sans oublier les coûts importants de telles réformes.
L’Albanie compterait un peu plus de 100 cépages locaux, 107 pour être précis. Toutefois, seuls 57 seraient effectivement exploités de manière commerciale pour produire du raisin, et 21 sont officiellement enregistrés au registre national des cépages. Il existe plusieurs chiffres différents selon les sources, mais une source officielle stipule que près de 60 à 65% de l’encépagement sont variétés locales.
Le découpage des régions viticoles d’Albanie n’est pas unanime selon les sources, mais on peut identifier deux niveaux de classifications : un découpage par altitudes et un découpage par bassins viticoles ou terroirs. Commençons par le zonage par altitude :
Maintenant, voici le découpage correspondant davantage à probables futures zones en DOP / IGP :
| Région viticole | Localisation / Relief | Climat | Cépages principaux | Particularités notables |
|---|---|---|---|---|
| Shkodra Region | • Située au nord de l’Albanie. • Districts de Shkodra, Lezha, Mirdita, Puka et Kurbini. • Relief mixte : plaines (Zadrima), collines jusqu’à 600 m, bordée par les Alpes dinariques et traversée par la rivière Drini. |
• Méditerranéen humide. • Région très arrosée (≈ 2500 mm/an). • Températures moyennes entre 11,8 et 14°C. • Hivers froids dominéspar le vent Murrlan, automnes pluvieux avec vent Shirok. |
• Rouges : Kallmet, Merlot • Blancs : Shesh i Bardhë |
• C’est la région originelle de la viticulture albanaise. • Le cépage phare est le Kallmet, souvent décrit comme le vin rouge du Nord. |
| Central Region | • Zone entre l’Adriatique et l’arrière-pays, délimitée par la rivière Ishëm au nord et le fleuve Shkumbin au sud. • Districts de Durrës, Tirana et Elbasan. • Relief de plaines côtières et de collines (Rodon–Vorë–Krrabë). |
• Subtropical-méditerranéen. • Étés chauds (24°C en juillet), hivers doux (7°C en janvier). • 260–290 jours de soleil/an. |
• Blancs : Shesh i Bardhë • Rouges : Shesh i Zi, Merlot, Cabernet Sauvignon |
• Berceau du Shesh i Zi et du Shesh i Bardhë, les deux cépages principaux du pays. • Vignoble proche de Tirana. • On y trouve les principales caves coopératives. |
| Berat–Fier Region (Myzeqe) | • Grande plaine du centre-sud, entre les rivières Shkumbin au nord et Vjosa au sud. • Districts de Berat, Fier, Lushnja, Divjakë, Mallakastra. • Relief de collines basses et vallées (Devoll, Osum) jusqu’aux pentes du mont Tomorr. |
• Méditerranéen. • Étés très chauds et secs, hivers modérés et variables. |
• Blancs : Pulës, Debina e Bardhë • Rouges : Shesh i Zi |
• C’est la principale région agricole du pays, avec des terres très fertiles. • Le cépage phare du coin est le Pulës, spécifique à Berat, qui donne des vins blancs ronds et aromatiques. |
| Southern Region | • Sud-ouest du pays. • Districts de Vlora, Delvina, Gjirokastër, Saranda. • Relief très varié avec les vallées du Vjosa et du Drinos, les plaines côtières de Delvina et des montagnes calcaires. |
• Méditerranéen chaud. • Hivers doux à chauds, étés longs et très secs. • Sols fertiles dans les vallées, plus érodés sur les pentes. |
• Rouges : Vlosh, Koteka e Zezë, Kryqësi (Cinambel) | • La région est connue pour le cépage Vlosh. • Potentiel élevé pour les vins rouges puissants et pour l’œnotourisme. |
| Southeastern Region | • Sud-est du pays. • Districts de Korçë, Pogradec, Leskovik, Përrenjas. • Relief montagneux et vallonné allant de 200 à 2523 m. |
• Continental marqué. •Hivers rigoureux, étés tempérés. • Précipitations faibles dans les vallées. |
• Blancs : Debina e Bardhë, Serina e Bardhë • Rouges : Serina e Zezë, Mavrud |
• Cette région d’altitude offre des vins élégants et frais, avec un potentiel qualitatif élevé, notamment vers le plateau de Korçë (~850 m) et les champs de Pogradec (~700 m). • Il y a localement un intérêt croissant pour la viticulture biologique. |
Bien que située au centre-sud de l’Europe, l’Albanie nous paraît encore très lointaine, notamment du fait de l’histoire. Et bien que ce pays soit encore dans une longue transition vers l’intégration européenne, il possède déjà un fort potentiel qualitatif au niveau du vin. N’oublions pas que la viticulture y est bien plus ancienne qu’à l’ouest de l’Europe. Et surtout, il y subsiste un formidable réservoir de cépages anciens à découvrir !
Quand on s’y intéresse de près, on voit vite que le vin albanais n’en est plus à ses balbutiements. Le pays a connu, comme beaucoup de ses voisins des Balkans, un effondrement complet après la période communiste. Mais depuis 20 ans, la dynamique est impressionnante.
Les vignes ont doublé de superficie, des caves privées se sont créées et une nouvelle génération de vignerons formés à l’étranger a réussi à trouver une voie en dehors des standards internationaux. Les producteurs ne cherchent pas à copier Bordeaux ou la Toscane : on replante du Shesh i Zi, du Pulës, du Vlosh, du Kallmet. On redonne vie à des cépages presque disparus, cultivés en rangs ou en treilles, voire même parfois encore sur des mûriers.
Sur le plan qualitatif, les rouges gagnent toujours plus en finesse, en structure et en fruits précis. Les blancs sont impressionnants de par leur tension, leur fraîcheur, voire parfois leur légère amertume qui rappelle certains crus grecs. Et surtout, on sent le terroir, une sensation de familiarité avec des repères comme la chaleur du sud, le fruit mûr, la franchise des vins méditerranéens, mais aussi des arômes qu’on ne croise nulle part ailleurs.
Aujourd’hui, une poignée de domaines comme Çobo, Uka, Kallmeti, Nurellari, Belba, entre autres, montrent que le vin albanais, quand il est bien travaillé, n’a rien à envier à ceux de Macédoine, de Bulgarie ou de Grèce. Et dans ma cave en ligne, je vous ai sélectionné quelques pépites comme la domaine Kantina Arianiti et le domaine Kantina Enofama.
Dans tous les cas, toutes les infos (sol, cépage, millésime, vinification, arômes…) figurent dans les fiches techniques de mes vins du monde. Et si besoin d’aide pour acheter votre vin albanais en ligne, je reste dispo via l’onglet Messenger en bas à droite. Les bouteilles sont expédiées en caisses renforcées pour une livraison en toute sécurité.